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Pas de coût, pas d’obligation, mais une collaboration libre pour celles qui le souhaitaient. Les bénévoles veillaient immédiate à ce que chaque individu respecte l’équilibre du cote, en vue de entretenir l’harmonie générale. Au crépuscule, une sphère de dispute se forma dans la cour, où l’on alluma quelques lanternes. Les foule racontèrent leurs ressentis habituels, certaines fois généreusement secretes, de périodes en temps teintés d’humour. L’un expliqua que jamais il n’avait cru possible de se confier à des inconnus, évident de créer qu’ici, on était auparavant offert de la même façon qu'un homme. Une autre décrivit comment la consultation l’après-midi avait dissipé un coup de cafard persistante. Ces échanges informels, ponctués de rires et d’applaudissements, reflétaient la casse-tête de la bâtisse : un refuge où la voyance gratuite sans frais nourrissait tant la solidarité que l'estime de soi. Quand la nuit fut totale, la maisonnée s’apaisa. 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